La question se pose quand vous mettez deux jours à vous remettre d’une cuite. Le mal à la tête intense, l’envie de dormir mais surtout celle de rester allongée tel un épervier qui vient d’être abattu par un chasseur en forme ; telle une truite qui se retrouve dans le seau sans eau du pêcheur du dimanche.

Deux écoles s’offrent à vous :

1/ Boire pour decompresser, oublier, vous changer les idées : et dans ce cas là, cela peut être la situation pourrait s’avérer extrêmement délicate car vous parlerez sans aucun doute à un inconnu – pas si inconnu que cela car il fait de la TV -, mettrez deux giffles à votre meilleur pote et insulterez une nana venue en jupe au bar près de votre groupe. Réaction dite ‘pit bull’ car après une semaine fatiguante, vous vous sentez investie d’une mission et vous l’accepterez : Veillez sur les autres et réglez vos comptes, même imaginaires et même avec des personnes totalement exterieures à votre désillusion !

2/ Ne pas boire et ruminer vos malheurs, pensant que la vie est dure, injuste et triste. Réalisant que regarder la serie du samedi est le signe que vous avez tout raté dans votre vie et en vous vengeant sur du fromage ou du sauscisson et surtout et essentiellement du vin… le fameux verre de vin.

Ainsi le débat to drink or not to drink se déplace après mure réflexion sur la question to drink (ok nous sommes toutes un peu alcooliques, acceptons le sans faux-semblant, merde au voilage de face) or not to drink like a fish (traduction reverso de comme un trou).